Comment penser positif (quand on a l’habitude de penser négatif)?

Ecrit par : jeudi, janvier 1, 1970 13 Permalink

Comment être positif, alors que je me sens plutot négatif?  

 Vous avez déjà entendu cette phrase de Shakespeare :

  » to be or not to be, that’s the question »

 ou traduit en langue de Molière :

 « Être ou ne pas être, telle est la question »  

 oui ÊTRE, ça veut dire quoi?

   Comme on le comprend avec la vidéo que je vous offre (si vous ne l’avez pas vue, cliquez ici pour la recevoir), si on a un comportement lié à un déclencheur, on peut partir en dévalorisation parce que l’on ne se comprend pas (les autres aussi peuvent ne pas nous comprendre).   Ainsi des remarques négatives, où il est possible de conjuguer le verbe ÊTRE à la première personne du singulier comme :

  • je suis triste
  • je suis dépressif
  • je suis bête
  • je suis nulle
  • je suis…

Bonne nouvelle, c’est FAUX. Mensonges, balivernes…  

Vous n’êtes pas bête, ni nul ni triste ni coupable, mais vous vous SENTEZ bête ou nul ou triste ou …  

 La mission, si vous l’acceptez est de, à votre rythme, faire la différence entre croire que l’on est nul, et se sentir nul. Au pire admettre que vous n’êtes pas dépressif, mais traversez une phase, peut-être longue, de dépression. Vous saisissez?   Tout comme vous avez appris, tout au long de votre vie, à croire que vous êtes tout ce que vous voulez de négatif, vous pouvez apprendre à comprendre le mécanisme qui vous pousse à vous sentir cela, et à l’inverser.  

 Alors évidemment, si vous voyez un bébé, et ce pauvre bébé, tous les jours, est victime de violences. Son bourreau le frappe en lui criant la même rengaine : ce bébé est un imbécile. Malheureusement, un jour, si ce bébé n’est pas aidé, protégé, accompagné et soigné : il en sera persuadé. Le problème, c’est que c’est l’agresseur l’imbécile, mais ça, personne ne l’a expliqué au bébé au cours de sa croissance…  

 Et si ce bébé en grandissant n’apprend pas le contraire, il peut devenir un adulte qui croit dur comme fer à sa soi-disant imbécilité. (Surtout si on lui répète à l’école, en rentrant chez lui aussi, lors des repas, quand il joue… Même s’il fait le maximum pour montrer brillamment que c’est un bon garçon, il peut se fabriquer en lui un schéma de pensée où il n’y croira pas quelque part). Vous voyez où je veux en venir? Croyez-vous que ce bébé devenu adulte maitrisera la pensée positive? Croyez-vous que ce bébé devenu adulte acceptera spontanément avec enthousiasme, ses qualités, et son potentiel positif? Croyez-vous que ce bébé devenu adulte aura facilement des pensées positives sur lui?   Malheureusement, à de rares exceptions près, la réponse est NON.  

 Avez-vous vécu votre enfance dans un contexte où votre entourage vous félicitait quand vous faisiez quelque chose de bien? Avez-vous vécu votre enfance dans un contexte où votre entourage vous montrait ce qu’il fallait faire avec amour si toutefois vous faisiez des erreurs?   Si c’est oui, bravo. Il existe encore des personnes comme cela.  Pour elles, c’est beaucoup plus facile de penser positif.   Beaucoup me disent : »Il y a tellement de négatif en moi que ce serait hypocrite et malhonnête de ma part » de penser positif. » Déjà, ces personnes-là montrent qu’elles se soucient d’être honnête, et j’en profite pour les féliciter de nouveau car elles sont honnêtes.  

Je veux bien admettre que si vous n’êtes pas en forme, et que vous êtes blessé, ou victime de jugement dévalorisant, ou de plaintes, ou embarqué dans une dispute, il ne soit pas facile d’avoir des pensées positives.   Rien n’est figé, tout change.   Lavoisier disait même : »rien ne se perd, rien ne se crée, tout se transforme ».   Le bébé brimé devenu adulte peut commencer à transformer son ressenti, et apprendre à croire qu’il est loin d’être imbécile. Au final il choisira d’avoir une estime équilibrée de soi. On peut tous, en suivant quelques règles simples, changer et devenir positif en respectant son propre rythme.  

Vous connaissez les courbatures?  

Si on n’a pas utilisé un muscle pendant longtemps, quand on se met à l’utiliser, il fait un peut mal. La pensée positive, c’est pareil. Et je dirais même que la pensée négative aussi. je m’explique :   Notre bébé devenu adulte a eu l’occasion plein de fois dans sa vie d’apprendre la pensée négative (le pauvre, bien malgré lui). C’est  comme un réflexe : dès que quelque chose arrive, il lui sera facile au fond de lui d’utiliser le « muscle-pensée-négative » et ainsi de facilement penser négatif tellement ça a été un mode de fonctionnement pour lui. Une philosophie de vie en quelque sorte. Alors, quand il va commencer à utiliser le « muscle-pensée-positive » : Aïe, au début, ça fait mal. Oui, mais avec un petit peu  d’exercice et de pratique, la pensée positive va se fortifier et l’aptitude à penser positif deviendra un réflexe. Il deviendra plus facile pour lui d’appréhender sa vie positivement.  

Coupez les robinets « pensées négatives »

Et il y en a deux : un interne, un externe.  

Le robinet négatif externe.  

Qui parmi vous en trempant une éponge sèche dans une bassine d’eau arrive, en l’essorant, à en faire sortir du vinaigre?   Comme nous sommes tous obligé d’être quelque part, notre cerveau fonctionne aussi comme une éponge. Elle absorbe son entourage.   Cela veut dire que si vous ne parlez qu’avec des individus se délectant d’idées négatives (il y en a qui veulent toujours être les premier au courant du meurtre par ci, d’un viol par là, d’une guerre quelque part…) difficile pour notre cerveau d' »essorer » autre chose que meurtre, viol, guerre…  

Une question simple concernant le négatif que notre environnement peut déclencher est:   Après avoir vu ça, je me sens mieux? ou je me sens moins bien? Après avoir entendu ça, je me sens mieux? ou je me sens moins bien? Après avoir parlé de ça, je me sens mieux? ou je me sens moins bien?   Achetez le journal local, écoutez les gens parler : nous sommes en général, à de rares exceptions près, dans un environnement négatif.  

Evidement, je n’ai rien contre les journaux locaux, ni contre ce que les gens ont à dire, mais, juste répondez à cette question simple : Après vu, lu, entendu ça, je me sens mieux? ou je me sens moins bien?   Les gens souffrant de dépression ont déjà fort à faire avec leur propre idées noires. Il n’est pas nécessaire de se charger plus en s’imprégnant du négatif des autres. Pas la peine d’aller chercher à savoir en détail tout les malheurs du monde. Ne tombons pas dans l’autre extrême, il n’est pas non plus demandé d’aller vivre en ermite sur le sommet d’une montagne… Juste faire attention quand on se sent, telle l’éponge, se gonfler de négatif par notre entourage.   Certains préconisent de s’abstenir totalement d’informations télévisuelles, préférant lire les titres de l’actualité sur les sites des principaux journaux. Pourquoi ne pas essayer pendant un mois, et faire ensuite le bilan? Par exemple, tous les jours pendant la durée du journal pourquoi ne pas faire le point sur son robinet négatif interne?  

 Le robinet négatif interne.  

Dans la vidéo, on parle d’évenementothèques. Vous vous souvenez? on reçoit des millions d’informations à la seconde. Dans notre cerveau se produit aussi des milliers de pensées qu’il est difficile de maitriser car un grand nombre de ces pensées sont inconscientes. Qui dit inconscient ne dit pas non maitrisable.  

 Nous avons vu quelques principes pour fermer le robinet externe, concentrons-nous à présent sur le robinet interne. Ce n’est pas le plus simple, car comme on l’a vu plus haut, pour beaucoup de monde, la mauvaise habitude est prise depuis longtemps.  

Donc pour reprendre l’image du muscle… Aïe. Imaginez un adolescent avec un grand potentiel physique qui passe son temps devant la télé à jouer aux jeux vidéos devant un écran géant tout en buvant des sodas et avalant des hamburgers. Il ne sort jamais, va à l’école en bus…Vous voyez le tableau? Il est obèse avec les années, un peu aigri, et se rend bien compte quelque part qu’il doit faire quelque chose. Un coach bienveillant décide de passer du temps avec lui. Même avec la meilleure volonté, ça peut être un challenge pour lui de motiver notre ado léthargique. Imaginez la scène, ça peut même faire très mal. C’est ce qui se passe avec notre pensée positive si on n’a jamais eu l’habitude de la mettre en pratique. Tel notre ado, au début il faut se forcer. Courbatures, douleurs, prise de conscience des faiblesses du corps, ça sera le lot au début. Vous croyez qu’il pense déjà à arrêter tellement il a été habitué au confort molletonné de son canapé en cuir? Sans doutes oui, s’il n’est pas motivé. Il peut même arriver à être dégouter de l’exercice physique. Mais après des jours, des semaines et des mois d’entrainement… Il goute à la joie de la souplesse, du tonus. Il ne se reconnait plus tellement il a pris confiance en lui. Il n’échangerait sa forme et sa vigueur contre rien au monde. Il savoure la vie.  

 Pour la pensée positive c’est pareil. Vos blessures vous ont peut-être empêcher de savourer la vie et de penser positif, mais après discipline et persévérance de l’entrainement, les bienfaits viendront, telles des bouquets de fleur, enjoliver votre vie. Si la pensée positive est une graine de fleur semée, en l’arrosant dans votre quotidien, régulièrement goutte après goutte, vous la verrez croitre, éclore, resplendir vous demandant encore comment vous faisiez quand vous ne l’aviez pas.  

Pour cela voici quelques règles :  

1. Se rendre compte de sa négativité.

  Ne vous inquiétez pas, ça arrive à tout le monde. Le danger c’est d’entretenir le processus négatif.   Il se passe comme un dialogue intérieur en nous, plus nous prenons conscience du contenu de ce dialogue, plus nous aurons du pouvoir pour en faire ce que l’on en veut.   Ainsi, dès que vous vous rendez compte que vous avez été négatif, râleur, en colère, peur, ou que vous vous mettez à vous croire victime ou autres, dites-vous en vous-même quelque chose comme:    » Oups,oui, là, j’ai été négatif. ça ne m’aide pas, au contraire, ça aggrave la situation. Comment être positif maintenant? » Et trouvez comment vous pouvez être positif maintenant. (par exemple en vous félicitant d’avoir fait le premier pas de vous rendre compte que vous étiez négatif).  

 2. Accepter sa négativité, faire son possible pour la transformer en positif.

  L’étape précédente vous a fait vous rendre compte de votre négativité, vous l’avez identifié. Le piège serait de la repousser, avec de la colère contre soi par exemple. Un état d’esprit négatif initial peut être couronné par plusieurs émotions négatives (colère, honte, culpabilité de ne pas y arriver, peur ne de pas s’en sortir…) L’idée est d’accepter la négativité et la ou les émotions qui l’accompagnent, en cherchant à les remplacer par du positif.   Ex : Depuis une semaine, vous vous faites une joie de faire les boutiques avec Martine. Pendant que vous vous préparez, Martine vous envoie un sms : « jpe pa j t retel biz » Ce qui veut dire dans la langue de Molière: « Je ne peux pas venir, je te rappellerai dès que possible. » La pensée négative qui peut arriver est : « Quelle ……… cette Martine, encore une journée de foutue. Moi, je suis quoi maintenant???. » avec tout l’émotionnel qui va avec. Rage, dépression, culpabilité d’être dans un tel état… Pause Vous venez de vous rendre compte de votre pensée négative. Remplacez-la par exemple par : « Oui, j’étais en train d’être négatif. Oui j’étais en colère, Oui maintenant j’ai honte de m’être sentie en colère et d’avoir eu de telles idées envers Martine. Ou est le positif ici? Voyons…Euh… Tiens ben justement, déjà bravo, je me rends compte de tout ça et ce n’est pas le cas de tout le monde. Je suis sur le bon chemin. Du coup, j’ai du temps de libre, je vais en profiter pour faire une ballade avec moi-même et respirer le bon air frais de dehors. »   Vous comprenez l’idée?   Tous autant que nous sommes passons par des phases négatives. Le danger, c’est d’accélérer la machine à pensées négatives, au lieu d’y mettre un coup de frein. Au bout de quelques semaines, vous verrez comment votre négativité se manifeste en vous et vous saurez la transformer en positif avant même qu’elle influence votre comportement.  

 3 Observer dans quelles circonstances on a tendance à être négatif et y veiller.

 Si je vous dis :Coucher de soleil sur montagnes enneigées, hamac sur une plage tropicale bercé par les alizées… pour vous plutôt positif ou plutôt négatif?   Si maintenant je vous dis harcèlement moral au travail, transport en commun bondés, embouteillage sur une autoroute saturée, plonger dans la dépression…pour vous, plutôt positif ou plutôt négatif?   Il existe des endroits qui génèrent plutôt du positif, d’autres qui génèrent plutôt du négatif. Essayez de déterminer ce qui pour vous sera plutôt l’un ou l’autre, surtout si vous devez vous y rendre régulièrement.   Sur une feuille, écrivez en haut : comment penser positif. Puis faites deux colonnes. Une ou vous mettrez le lieu. En face vous mettez le négatif que vous y ressentez. Et juste dessous le positif que vous pouvez en tirer.   Exemple lieu : Négatif autoroute bouchée quand je vais au travail (boule dans la gorge, stress, peur d’abimer ma voiture). Positif rentabiliser ce temps en écoutant musique, ou apprendre langue étrangère, ou écouter un livre enregistré, sourire, chanter dans sa voiture..…   Avec la feuille sur vous tout le temps, prenez du temps pour noter le lieu que vous identifiez comme négatif.. Quand vous les avez bien identifiés, et que vous savez que vous devez vous y rendre pour une raison ou pour une autre, il est très avantageux de reprendre encore plus à coeur l’exercice ci-avant en restant sur ses gardes. La meilleure défense c’est l’attaque dans ce cas. Si vous êtes obligés de passer du temps dans un environnement négatif, trouvez le bon plan de penser à adopter pour en tirer du positif. Le négatif peut se déclencher d’une manière automatisée et encore plus précise. Même s’il faut redoubler d’effort pour le surmonter, c’est possible d’y trouver du positif. Avec de l’entrainement et du discernement, vous pouvez y arriver.  

4. Faites le bilan du positif de la journée.

 Prenez un carnet, un fichier word, une tablette ou un smartphone et avant de vous coucher, et notez-y tous les jours une liste de 5 choses positives que vous avez réussi à fabriquer.   Rappelez-vous notre adolescent qui se met au sport : au début, ça fait mal. Mais continuez, persévérez, vous n’avez pas le choix. Si aujourd’hui vous ne trouvez qu’une chose, notez-la. Votre « muscle-pensée-positive ne peut commencer ses exercices de muscu, qu’avec 20 grammes, acceptez-le, demain 20 grammes ce sera plus facile, et plus vous y arriverez, plus vous aurez le potentiel de faire plus. Le piège ici est de minimiser l’effort que vous faites, pour ensuite être tenté d’arrêter de faire l’effort tellement on le dévalorise. Si vous faites l’effort, et que ce n’est pas facile pour vous, vous pouvez l’écrire en commentaire, et nous tous serons ravis de vous aider et de partager nos succès avec vous. Mais persévérez. Vous y arriverez car le positif est autour de nous. Ce qui le cache, c’est ce qui bouche nos yeux. C’est pour ça qu’on ne le voit pas.  

5 Noter ses progrès.

 Observez ce qu’il y a de positif, savourez-le et notez ce que l’esprit positif produit en vous. par ex :    » je pleure beaucoup moins. Je sens que je suis sur la bonne voie ». Observez ce qu’il y a de négatif et notez-le en le transformant.   Par ex:   « Je suis triste » devient, « même si je me sens triste, je fais tout ce qu’il faut pour ressentir de la joie. » ou « même si je me sens triste, je fais mon maximum pour aller mieux ». « même si je me sens en dépression, je m’autorise à aller mieux ».  

 6 Remercier

Avec ce que vous avez noté de positif, vous pouvez apprendre à ressentir de la gratitude. Par exemple, vous avez pu lire les lignes de cet article, c’est positif pour moi, et je vous remercie. Mais vous avez des yeux pour lire, voyez à qui vous pouvez dire merci. Par exemple « Merci à toute l’équipe pédagogique qui m’a appris à écrire et à lire. »   Plus vous remerciez, plus vous vous focalisez sur ce que vous avez, et moins sur ce que vous n’avez pas.    

 7 Génerez votre vague positive.

Plus vous êtes positif, plus vous apprenez à voir positif, et plus vous vous rendez compte de l’abondance de choses positives autour de vous et vous en éprouvez de la gratitude. Trouvez tout ce qui vous aide à être positif. (la photo d’un enfant qui rit, un livre qui vous apporte de la joie,…)   Ainsi, vous vous rendrez compte du potentiel positif qu’il y a en vous, et progressivement, vous trouverez les clés qui en ouvrent les portes.  

8. Dire à son entourage qu’on a l’intention d’être positif.

 Il est bon que l’entourage sache qu’on a l’intention d’être positif car si votre entourage peut vous voir, vous, vous ne vous ne voyez pas. Personne n’est à l’abri d’un faux pas. Il peut arriver que vous deveniez malgré vous négatif, par vos propos (si vous vous mettez à dire du mal de quelqu’un par exemple), par votre comportement (si vous vous mettez à râler pour des petites choses). Si votre entourage sait que vous voulez travailler le positif, il pourra vous la faire remarquer. Attention cependant, ne prévenez pas ceux qui ne peuvent pas comprendre ces notions. Ne le dites pas à n’importe qui, choisissez vos amis à qui vous le direz. Vous vous faites ainsi des alliés pour arriver à votre objectif.    

Cette liste n’est pas exhaustive, si vous avez des idées, n’hésitez pas à en faire par dans les commentaires

 Chacun son rythme, chacun se retrouve.

   Joël

13 Comments
  • Jess
    juillet 7, 2014

    Bonjour à tououous!
    J’aime bien cet article! Merci pour celui-ci Joël!
    En plus, nous français, en terme de positivité, avons une marge de progression importante devant nous!
    En ce moment, je lis le livre de Florence SERVAN-SCHREIBER : 3 kifs par jours. J’en profite pour faire la pub, je suis sûre que cela pourra plaire à beaucoup de lecteurs de ce blog qui cherchent à développer leur optimisme réaliste et leur gratitude.
    Merci encore Joël!

  • Juliette
    juillet 8, 2014

    Excellent article! En tout cas, c’est mon ressenti 😉
    Merci pour ce partage

  • david
    juillet 28, 2014

    Un bon article bourré de conseils pertinents ! J’en avais besoin

    • Joël ALIDOR
      juillet 30, 2014

      Je suis content que tu aies aimé David, t’aimerais que le blog aborde un sujet en particulier ?

      • david
        juillet 30, 2014

        Le syndrome d’abandon et l’agressivité que cela engendre. Je suis pleinement concerné…

        • Joël ALIDOR
          juillet 30, 2014

          Ok, j’en prends note et je fais au mieux…

  • Juliette
    juillet 30, 2014

    Moi aussi j’aimerais te demander d’aborder un sujet qui me tient tout particulièrement à coeur, si c’est possible.
    Comment réagir face à l’orgueil sans devenir soi-même orgueilleux????
    Lorsque quelqu’un, plus ou moins finement, te prends de haut et te fais sentir inférieur alors que tu étais totalement pacifique… voire même utilise de la violence verbale, et qu’elle ne témoigne peu ou pas de pitié pour les sentiments de l’autre (quand elle est dans son mode orgueil); comment désamorcer la bombe en restant fidèle à soi-même, en ne devenant pas méchant et en n’utilisant pas les mêmes armes que cette personne? Il y a des personnes que l’on peut éviter dans sa vie, et d’autres moins…

    Je hais l’orgueil mais je me sens empêtrée dedans malgré moi. 🙁

    • Joël ALIDOR
      juillet 31, 2014

      J’en prends bonne note. je vais faire au mieux pour y répondre.

  • Kevin
    avril 22, 2015

    J’ai trouvé cet article vraiment intéressant. Il m’a fait prendre conscience de l’existence du « robinet interne » de la négativité et de la nécessité de le couper. La négativité n’est effectivement pas quelque chose de NORMAL et c’est un processus à inverser! C’est pas facile au début et l’analogie de l’ado obèse est bien trouvée!
    Merci Joël pour ces bons conseils.

    • Joël ALIDOR
      avril 23, 2015

      Merci Kevin,
      En effet, il faut être très attentif pour ne pas se laisser surprendre par ce flot de négativité qui pourrait nous submerger… Mais comme tu le dis, NON, ce n’est pas NORMAL, bien au contraire, c’est une lutte (tu le dis aussi : pas facile au début mais possible après un peu de discipline).
      Bon courage à toi, bonne suite.
      Tiens-nous au courant!

  • Zaré
    avril 26, 2015

    Merci Joël pour tes rappelle. Je pense le problème c’est qu’on oubli de prend le temps pour observer nos penses et les analyser. En tout cas pour moi! Mais comme tu dit c’est une exercice et ça demande un peu discipline. Si on prend du temps, c’est sur on trouvera même plus que cinq chose positive .Pour ça, des temps en temps il faut faire un bilan de chemin de notre vie. Vers oû on vas? Comme tout les chemin mène à Rome mais tout les chemin peu nous éloigné aussi! De qu’on se rende compte que les bornes kilométrique nous montre qu’on s’éloigne il faut fair le nécessaire pour revenir sur nos pas. Il faut pas s’éloigner trop pour ne pas perd ses repère et tomber dans la déprime .

  • Richard M.
    octobre 18, 2015

    Bonjour Joël;
    Merci pour ce travail pertinent que tu as réalisé mais, j’ai quand même une préoccupation qui est celle de savoir, comment changer le négatif en positif lorsque le probléme est, non pas dans notre conscience mais plutôt dans notre subconscient? Est-il possible pour nous de travailler sur quelque chose dont on ignore la présence en nous? Ou mieux, comment peut-on arriver à savoir qu’on est négatif si cela ne s’est jamais manifesté dans notre conscience?
    Merci et bon courage à toi pour la réalisation de plusieurs autres études de ce genre dans l’avenir.

    • Joël ALIDOR
      mars 24, 2016

      Bonjour, la vidéo de la formation gratuite répond en partie à la question. Pour faire bref, oui, on peut travailler sur l’inconscient, mais c’est une autre paire de manche que d’y arriver seul…En général on se rend compte (prend conscience) que ce qui se passe est négatif à travers nos émotions (colère peur, oppression etc…).

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